Un de mes coloc est un ancien gogo dancer, et je le soupçonne de bien plus. Mais dans les apparences, c’est un garçon très propre sur lui, et depuis quand je rencontre de nouvelles personnes, je les imagine toujours dans des situations coquines.
Il se trouve que quand on parle de pute, on pense généralement à des nanas, pas à des gigolos, car il y en a beaucoup moins. Enfin en France, parce que quand je travaillais en Afrique, j’en ai vu des blondes venir se payer leur bois d’ébène…
Cependant, il existe une prostitution bien moins reconnue : la prostitution sociale. Coucher pour réussir, pour bénéficier du train de vie d’une personne, pour éviter des ennuis, pour ne pas perdre quelque chose, en échange d’un service, d’un bien ou d’un avantage…
Ces putes là sont très nombreuses, parfaitement socialement acceptées, absolument pas assumées, et les mecs sont beaucoup plus représentés.
Non pas qu’il n’y a pas de nanas putes sociales, elles sont légions, mais je trouve qu’on a tendance à omettre trop souvent les deux côtés de la pièce. L’homme pute est là, et pas juste métaphoriquement.
Comme un de mes potes avocat qui a fisté son batonier car c’était bon pour sa carrière.
Comme un des potes de Max qui a couché régulièrement avec un thon ce mois-ci car il avait besoin de sa voiture et qu’elle garde les chiens de sa copine (sic) pendant quelques mois.
Et qui n’a pas dans son entourage ce type qui se force à se taper sa gonzesse dont il ne veut plus pour éviter qu’elle l’emmerde, qu’elle divorce, qu’elle prenne les enfants/l’argent, etc ?
On a tous des tas de gens autour de nous, hommes ou femmes, qui utilisent leur cul pour obtenir quelque chose.
Mais ça ne se limite pas à ça.
Cette semaine, en boîte, une meuf a proposé de l’argent à Max pour qu’il rentre avec elle.
Je suis un peu jaloux, ça ne m’est jamais arrivé.
La prostitution est un vaste sujet.
Un patron de boite qui met/invite des bonnasses dans le coin VIP pour que les mecs viennent et payent des bouteilles. Ce n’est pas un mac …
Pour ca que j’ai toujours eu du mal avec les sites de rencontres ou les mecs payent, je prefere les bars a hotesse au moins les hotesses sont payées…
On en avait discuté dans le coucher agreable mais utile, pareil pour les mecs.
Et pareil dans le bdsm on peut payer pour humilier quelqu’un et se faire humilier aussi.
J’ai déja vu la meme chose dans des milieux professionnels ou des gens se faisaient humilier mais restaient pour le salaire.
tin ! quel est donc ce merveilleux pays ou les femmes payent pour se faire farcir par un homme non mutant , non créole surdimensionner , non bodybuilder , non bi/gay , non soumis au féminisme mondialiste , enfin bref un homme normal quoi … ???
ca serait pas le groland ??!
Encore bien que ça existe !
Sans ces petites poulettes extraverties, je serais toujours entrain de me masturber et salir mon lit.
Internet est merveilleux sur ce point quand même.
Je n’ai plus honte de m’en farcir une en pensant qu’elle se fait exploiter par un mac.
Et puis ça motive pour le travail, ça m’a décoincé, car j’étais vraiment ultra timide.
Et puis quand une jeune étudiante mi canadienne mi mexicaine te propose un plan cul journalier comme loyer.
Comment refuser bon sang ! Je défie n’importe quel mec !
Bref je trouvais ça dégradant, mais maintenant je trouve ça plus sain que de ce mettre en ménage avec une fille et la quitter au bout de 6 mois.
Les “féministes” qui militent pour la pénalisation des clients de la prostitution en France ne sont pas contre une bonne baise avec un marocain ou un dominicain quand elles sont en vacances, rarement gratuite d’ailleurs.
@blurg Personne n’a dit que Max etait un homme normal, si? xD
bien vu r4is3 :)
@ Trq , r4is3 , Max …………………………. ROFL !
Putain (!), les gars, quand je vous lis, j’ai l’impression que le monde est une vaste orgie dont je suis exclu.
Moi j’ai vaguement une occasion par an, et souvent je la rate. Quand je sors en boite, en bar, ou en soirée, je n’arrive jamais à mener les conversations avec les filles vers ça… Elles commencent toujours par un “tu fais quoi dans la vie ?”, et finissent toujours par me parler de leurs problèmes avec leurs DRH.
Alors coucher pour réussir, je ne sais pas si je le ferais, mais purée l’absence de sollicitations me déprime.
Là on devient borderline avec un autre sujet : L’esclavagisme.
Non, l’esclavisgme implique l’absence de choix. 90% des gens en France ont le choix (ou l’ont eu et se sont mis dans cette situation). Beaucoup vont utiliser les enfants, les dettes, la crise, le coût de la vie, etc pour dire qu’ils n’ont pas le choix.
Mais j’ai vu dans ma vie des tas de gens avec des situations similaires. Certains disaient “j’ai pas le choix”, et les autres faisaient les choix que les premiers ne voulaient pas faire.
On est très, très loin de l’esclavagisme.
J’ai vu des esclaves dans me vie. Des vrais. Ce n’est juste pas comparable.
Tu nous raconteras des histoires d’esclaves un jour Sam ?
@Slamm | others : une petite revue des sites pertinents en la matière ;)
@cendrieR: c’est pas trop le thème du site. Mais peut être. On a pas vraiment aboli l’esclavage, on l’a juste sous-traité dans d’autres pays et masqué derrière une rémunération symbolique.
“Et qui n’a pas dans son entourage ce type qui se force à se taper sa gonzesse dont il ne veut plus pour éviter qu’elle l’emmerde, qu’elle divorce, qu’elle prenne les enfants/l’argent, etc ?”
J’ai trouvé cette remarque magnifique. Je tenais à le signifier ^^
J’adorerais donner cette excuse à ma copine qui me demande si je l’ai trompé : “écoute c’est avec ça que j’ai payé ta bague que tu voulais tant !”
J’aurai été curieux d’entendre la conversation entre elle et ton pote : du cash bien lourd ou plat de spaghetti ?
Bonjour à toutes et à tous,
J’avoue avoir fait la pute une seule fois dans ma vie. C’était pour faire plaisir à mon homme du moment.
C’était terriblement humiliant d’obéir aux désirs de ces mâles inconnus. Mais c’était encore plus excitant de les voir bander pour moi, et de les sentir vibrer en moi jusqu’à leur plaisir total.
Par contre, je me sens incapable de refaire la pute tout(e) seul(e).
J’ai besoin d’être stimulée, dirigée, dominée pour arriver à passer par dessus mes réticences.